Ils n'attendent pas des millions et des milliards, ils attendent une reconnaissance qui n'est parfois que symbolique mais qui serait là. J'ai posé plusieurs questions écrites sur le sujet, vous le savez. Je crois que nous pouvons, au-delà de nos différences, nous retrouver sur ce sujet parce que les orphelins pupilles de la nation, les morts pour la France ne sont ni d'un camp ni de l'autre, ils étaient celui de la France.