Je dresse une liste de ces erreurs dans mon rapport, dans lequel j'insiste : nous n'avons pas le droit de perdre nos entreprises dans ces pays. J'ai à l'esprit – j'imagine que vous l'avez aussi, monsieur le ministre – une entreprise chère au cœur des Français, qui est présente dans tous les ports du monde, en particulier en Afrique ; son départ serait objectivement un signe avant-coureur d'un vrai recul de nos entreprises. J'espère que nous serons unanimes pour soutenir la présence de nos entreprises, y compris en Afrique – il s'agit évidemment du groupe Bolloré.