Une nouvelle fois, la France – c'est-à-dire l'AFD et le ministère de l'Europe et des affaires étrangères –, est mal classée dans l'index mondial de la transparence. Le Parlement et les ONG attendent beaucoup de la commission d'évaluation et de l'exercice de transparence prévu à l'article 3 de la loi de programmation votée cette année.