Tout le monde devrait en convenir. J'ignore la conclusion d'un tel rapport d'ailleurs, mais que l'on compare au moins notre situation, comme l'a dit M. Mbaye, à celle d'autres pays européens confrontés aux mêmes questions que nous. Je ne condamne pas la décision multilatérale du club de Paris – quand on abandonne une créance, tous les créanciers doivent se mettre d'accord, cela vaut à l'international comme pour un commerçant ou un artisan –, mais c'est un sous-chef de bureau de la Direction générale du Trésor qui arrête la position de notre pays !