La question de la pérennité du contrat d'engagement se pose également. Dans le PLF pour 2022, vous proposez par voie d'amendement de le financer à hauteur de 550 millions d'euros. Mais qu'en sera-t-il après ? Et qu'en est-il des moyens alloués aux missions locales chargées d'accompagner les jeunes concernés ? Allez-vous laisser à la charge des collectivités locales la gestion de l'ensemble des dossiers supplémentaires ?
Monsieur le Premier ministre, comprenez notre perplexité. L'entrée en vigueur de ce contrat d'engagement, prévue pour mars, ressemble davantage à une promesse de candidat qu'à une vraie avancée pour les jeunes. Alors, à part un changement de nom, que proposez-vous pour améliorer concrètement l'accompagnement des jeunes ?