Sinon, vous n'auriez conservé ces mesures potentiellement liberticides – la fameuse boîte à outils, qui vous est si chère – que jusqu'au 31 décembre.
Je défends donc un amendement de suppression de l'article 1er car le Parlement doit toujours rester présent pour défendre les Français. Nous devons garantir à nos concitoyens que nous serons là jusqu'au bout de notre mandat pour vous empêcher, monsieur le ministre, de faire n'importe quoi.