Pas du tout, monsieur le président. Je crains que nos points de vue ne soient irréconciliables : je maintiens que ce que nous faisons aujourd'hui avec Siemens permet justement de poursuivre cette merveilleuse histoire, alors que vous n'y voyez qu'un pis-aller…
Encore une fois, cela fait vingt ans que je travaille chez Alstom, et je n'ai pas l'impression de mettre aujourd'hui fin à son histoire et de faire une opération négative. Oui, il y a une perspective : je vous rappelle que depuis 2011, depuis que je suis à sa tête, le chiffre d'affaires de la branche « Transport » a augmenté de plus de 50 %, et que depuis 2014, nous avons remporté de très nombreux succès commerciaux. Nous avons un carnet de commandes record. Oui, l'histoire continue à être très belle.