et nous étions à vos côtés en mai 2020 pour voter avec vous le cadre juridique nécessaire. Nous avions pris nos responsabilités, parce qu'il y avait urgence et proportionnalité des mesures, et parce que nous étions collectivement pris de court.
Dix-huit mois après le début de l'état d'urgence sanitaire – qui a certes cessé cet été –, après des mesures qui continuent à s'appliquer et qui portent atteinte à certaines libertés publiques et individuelles – faut-il le rappeler ? –, nous ne sommes plus dans la même situation.