Mais cet état d'esprit, souvent partagé sur les bancs des oppositions, n'a, en retour, reçu que du mépris. Le Gouvernement n'a jamais voulu entendre les nombreuses propositions, souvent élaborées à partir des observations des députés ou des initiatives que ceux-ci ont prises dans leur circonscription pour endiguer l'épidémie ou pour réduire ses conséquences sur la vie sociale, culturelle ou économique du pays.