Il tend à allouer des crédits supplémentaires au compte d'affectation spéciale "Participations financières de l'État " à hauteur de 660 millions d'euros en autorisations d'engagement et en crédits de paiement. Ces crédits doivent permettre d'exécuter, en 2022, les dépenses en fonds propres prévues dans le cadre du plan France 2030, qui transiteront par le compte d'affectation spéciale et qui s'ajoutent aux dépenses budgétaires.
Ces fonds additionnels serviront à soutenir l'accélération de la croissance des start-up pour un montant de 450 millions d'euros, l'accélération des implantations de start-up industrielles pour 150 millions d'euros et l'investissement dans des entreprises porteuses de projets agricoles d'avenir pour 60 millions d'euros.