Il s'agit d'une question logistique, mais qui affecte directement nos productions agricoles. On pratique aujourd'hui la diversification des cultures, l'allongement des rotations, les mélanges d'espèces, la production de bien issus de mentions valorisantes ; mais l'apparition et le développement de ces données créent des problèmes de transport, de tri et de stockage auxquels il faut pouvoir répondre dans de bonnes conditions.
Aujourd'hui, les coopératives d'utilisation de matériel agricole (CUMA), les groupes de développement, les coopératives et les organismes stockeurs demandent des avancées en matière logistique. Nous proposons d'abonder à hauteur de 120 millions supplémentaires l'action Adaptation des filières à l'évolution des marchés du programme 149, de manière à donner corps aux mesures qui avaient été envisagées dans le cadre des états généraux de l'alimentation, il y a près de cinq ans.