Je tiens à répondre aux précédents propos du ministre. Non, les subventions ne tombent pas rapidement. Je ne parle pas tant des subventions nationales que de celles de l'Union européenne, qui ne sont versées que cinq ans après la conversion au bio ; ce délai rend celle-ci très compliquée.
Je voudrais également dire à mes collègues qu'il est très rare qu'il y ait un débat dans cet hémicycle, qu'un ministre réponde ! Voilà pourquoi nous en profitons pour l'interpeller : ce n'est pas la peine de soupirer ni de vous énerver. Les réponses du ministre aiguisent notre envie d'échanges.