Même avis. Nous avons annoncé vendredi les 800 premiers millions d'euros des 2,8 milliards de France 2030, qui comprennent notamment les programmes et équipements prioritaires de recherche (PEPR). L'un des points centraux est celui que vous avez soulevé : comment fait-on pour que l'INRAE et les instituts techniques travaillent d'ores et déjà sur des sujets sur lesquels nous savons déjà que nous serons à court de solutions dans deux ou trois ans ? L'un des enjeux a été de créer une gouvernance qui oriente la recherche vers les sujets de préoccupation présents et futurs. C'est une ambition forte, 800 millions d'euros : 400 millions sur la nutrition et 400 millions sur l'agronomie.