Je suis très embêté, car j'avoue ne pas savoir exactement où en sont les travaux de recherche sur le sujet des chenilles processionnaires du pin qui, contrairement à ce que leur nom indique, font encore plus de ravages sur les chênes.
Les crédits dont il est ici question relèvent du ministère de la transition écologique et du ministère des solidarités et de la santé, étant donné que la prolifération de ces insectes emporte un risque sanitaire supérieur au risque sylvicole. Cela étant, je m'engage à vous recontacter dès que possible sur cette question et vous prie de m'excuser de ne pas être en mesure de faire le point ce soir.