Ma suppléante Sylvie Bonnet et moi-même avons reçu dans notre permanence un groupe de jeunes agriculteurs qui nous ont sollicités pour favoriser leur installation. L'amendement vise à demander au Gouvernement de remettre un rapport sur la réévaluation et l'évolution de la DJA.
Étant donné les difficultés récurrentes que les jeunes agriculteurs rencontrent, il serait plus pertinent de maintenir les aides acquises pendant les cinq premières années et de ne prendre en compte les résultats d'exploitation de cette période que pour l'éligibilité aux demandes futures. Pour cela, il faut repousser l'âge limite d'accès à la DJA de 40 à 45 ans, afin d'augmenter le nombre de candidats à l'installation.