– non pas nouveau, car il était ouvert depuis fort longtemps, y compris par les précédents présidents de la République – et a fait le choix d'un discours de rupture le 20 septembre dernier, demandant pardon. Ce pardon – qui se traduira par la reconnaissance et par la réparation – fera l'objet d'une loi, que j'aurai l'honneur de vous présenter et dont nous aurons le privilège de débattre.