Malgré l'invitation insistante du ministre, je maintiens mon amendement. Si je ne nie pas que des choses soient faites, il n'est pas possible de continuer à dire que l'on va faire un effort de rattrapage, qui n'arrive pas : dans dix ou quinze ans, nous y serons encore ! Je souhaite que les choses soient fixées et je demande à la représentation nationale de permettre aux collectivités mahoraises – en retard – d'être dotées des mêmes moyens de développement que les autres collectivités locales.