Il s'agit là encore d'un amendement de repli. Puisqu'il n'est pas possible de supprimer la TVA pesant sur la fiscalité de l'énergie – d'une certaine manière, nous l'entendons –, il vise à la faire passer de 20 % à 5,5 %. En l'espèce, nous ne sommes pas du tout en opposition avec l'Union européenne puisque Thierry Breton lui-même a indiqué qu'elle allait permettre aux États d'agir en ce sens. Nous allons donc dans le sens de l'Europe et de ce que propose notre commissaire européen. Nous pourrions au moins adopter cette mesure.