Il vise à proroger d'un an le crédit d'impôt temporaire de 15 % pour les dépenses de créations audiovisuelles. La situation économique des radios françaises, a fortiori celle des radios régionales et locales, ne s'améliore pas, bien au contraire. Dans ces conditions, la poursuite et l'accompagnement par l'État des radios indépendantes semblent indispensables. Il y va de la survie de nos radios mais aussi du maintien du paysage radiophonique dense et pluraliste, irremplaçable pour nos concitoyens.