Il est en effet nécessaire d'évaluer et d'adapter les crédits d'impôt mais, si je vous comprends bien, le CIC n'a toujours pas pu être évalué et il est peu probable que nous ayons le temps de l'évaluer avant la fin de l'année prochaine, année politiquement un peu chargée. C'est la raison pour laquelle notre collègue propose, non pas de le prolonger ad vitam æternam, mais de nous laisser un an supplémentaire. Je me félicite néanmoins de la perspective de voir ce crédit d'impôt maintenu ou adapté en 2022.