Nous n'y manquerons pas !
Je salue le compromis en passe d'être trouvé. Je suis convaincu qu'il faut des mécanismes de transition, y compris vers l'agriculture biologique, mais il était important de distinguer nettement celle-ci de la haute valeur environnementale, dont je suis un militant – bien qu'on soit parfois critiqué jusque dans son propre camp sur cette question. Je me réjouis que le ministère de l'agriculture ait accepté de réformer le cahier des charges de la HVE afin de favoriser la transition vers l'agroécologie.
Il faudra, pendant la campagne présidentielle et lors des prochaines législatures, s'emparer de la question de l'économie de la prévention. Cet argent-là est très utile en matière de prévention, qu'il s'agisse de l'eau, des sols ou de la santé humaine. Je salue donc le volontarisme du rapporteur général et la sagesse du ministre délégué.