Vous ne pouvez pas nous fermer la porte au nez comme cela d'un air négligent ! Le problème que je soulève est important en tant que tel, mais il comporte aussi une dimension politique. Par vos avis lapidaires, vous vous asseyez sur un vote de l'Assemblée de Corse qui n'a pas de prétention législative, mais qui vise un aménagement interne du territoire. De quel droit moral vous permettez-vous de nous fermer ainsi la porte ? Il s'agit d'une décision unanime de l'Assemblée de Corse sur une question strictement interne !
Certains ont opposé l'argument suivant à la mesure que nous proposons : « En Savoie, c'est pareil. » Et alors ? Nous n'avons jamais dit le contraire ! Que les élus savoyards prennent leurs responsabilités !
Monsieur le rapporteur général, monsieur le ministre délégué, votre réponse est méprisante !