Il vise à fixer la fin des garanties à l'export à 2022 pour les opérations d'exploration ou d'exploitation de gisements pétroliers ou gaziers non encore exploités et à 2025 pour les opérations d'exploration ou d'exploitation de gisements déjà exploités ainsi que pour les opérations de production d'électricité dépassant un certain taux d'émission de CO
Compte tenu de l'urgence climatique et des conséquences négatives sur la biodiversité, les populations locales et les émissions de gaz à effet de serre de l'exploration et de l'exploitation d'hydrocarbures, il paraît indispensable d'avancer la fin des garanties à l'export pour ces projets. Du reste, eu égard aux annonces que la ministre Barbara Pompili a faites aujourd'hui, ces mesures sont cohérentes avec les positions défendues par la France.