Il a pour objet d'exonérer de droits d'accise, l'alcool utilisé pour la fabrication des compléments alimentaires conditionnés en unités n'excédant pas 15 centilitres, conformément au droit de l'Union européenne. Cela permettrait à la filière d'alléger les coûts de production, de réduire la charge administrative et de favoriser la croissance du secteur des plantes médicinales, qui constitue un levier de développement pour les territoires ruraux.
Cette exonération serait cohérente avec celles qui existent pour d'autres produits que les boissons – arômes, médicaments, aliments divers. J'ajoute que, compte tenu des quantités concernées, il s'agit de produits qui n'induisent aucune addiction.