Je tiens à insister sur le faible coût de la mesure. En effet, comme le nombre annuel de ventes de véhicules de société flex-E85 ne devrait progresser que de 3 000 à 6 000 pendant trois ans, le dispositif ne devrait représenter que 1,2 million d'euros en 2022, 2,8 millions en 2023 et 4 millions en 2024, soit une augmentation très progressive.
Comme l'ont dit mes collègues, il est complètement incohérent de prévoir une exonération de taxe sur des carburants d'origine fossile sans l'appliquer à des énergies plus vertueuses.