Ce serait un comble de vouloir brider le Parlement dans l'accès à l'information. Que les choses soient claires, toute proposition de suppression de jaune ou d'orange se justifie par le fait que les mêmes informations transversales sont disponibles ailleurs. Nous ne cherchons pas à supprimer un travail mais un doublon, en procédant, en quelque sorte, à un nettoyage. Et si certains de ces documents doivent malgré tout être conservés, c'est probablement davantage par souci de lisibilité que par difficulté d'accéder à l'information.