C'est ce même Président de la République qui a fait fermer Fessenheim, annoncé l'arrêt de quatorze réacteurs en tout d'ici à 2035, réduit la part du nucléaire dans le mix énergétique français, au rebours de ce que préconise le rapport du gestionnaire du Réseau de transport d'électricité (RTE) ; c'est lui qui a révélé ses préférences idéologiques en nommant ministres Nicolas Hulot puis Barbara Pompili, antinucléaires déclarés ; c'est lui qui s'abstient de défendre le nucléaire au niveau européen, faisant ainsi le jeu des centrales à gaz et à charbon.
Si vous avez enfin compris que cette énergie est peu coûteuse et entièrement décarbonée, nous attendons désormais que vous lui donniez des preuves d'amour.