Nous y sommes toujours parvenus et c'est la voie que nous entendons privilégier pour l'avenir.
Nous regrettons plusieurs malentendus survenus récemment car une telle situation ne correspond pas à l'importance que nous attachons aux relations entre nos deux pays – je vous le dis en votre qualité de présidente du groupe d'amitié. Nous avons engagé des efforts visant à rétablir les conditions d'une relation apaisée avec l'Algérie : nous y travaillons avec sérieux, dans le respect mutuel, dans le respect de la souveraineté de chaque pays. C'est sur cette base que nous entendons poursuivre notre action.