Je pense également qu'il est satisfait puisque l'indignité résulte de la précarité et de la privation de liberté.
S'agissant des sépultures, je suis d'accord avec vous, madame la députée : nous devons poursuivre ce travail mémoriel d'identification. Mon cabinet travaillait hier avec des élus de Saint-Maurice-l'Ardoise où se trouvait un camp, pour en faire un lieu de mémoire, notamment autour de tombes d'enfants qui y sont morts. Ce travail, que le ministère a entamé et qu'il poursuit avec la ferme volonté d'aboutir, ne relève cependant pas du niveau législatif.