Madame Ménard, j'ai auditionné la directrice de l'ONACVG et je lui ai évidemment posé une question sur les sépultures puisque je suis moi aussi touchée par le sujet : elle m'a assuré qu'il existait une aide que l'Office pouvait attribuer pour que ces personnes décédées puissent avoir une tombe comme tout le monde et retrouver ainsi leur dignité. Il est vrai que nos amis harkis l'ignorent souvent et c'est pourquoi je tenais à le préciser ; ils peuvent demander à l'ONACVG une aide exceptionnelle pour une sépulture.