La répartition des rôles entre l'ONACVG et la commission sera très claire : le premier reçoit les dossiers et les instruit, tandis que la seconde statue sur la demande de réparation. Elle le fera de manière indépendante, sans qu'aucune instruction de la part des organismes dirigeants de l'ONACVG puisse lui être adressée. La rédaction des décrets d'application évitera naturellement d'éventuels doublons. J'émets, pour ma part, un avis de sagesse.