Même avis, mais je ne veux pas laisser sans réponse ce qu'a dit M. Naegelen. Évidemment, il s'agit là de préoccupations que nous partageons ; depuis cinq ans, d'ailleurs, nous avons fait progresser le droit à l'oubli, notamment en matière de cancers pédiatriques et pour les 18-21 ans. Pour cela, nous avons toujours suivi la même méthode : évaluer les risques, dialoguer, faire en sorte de réduire le délai à cinq ans en attendant moins, tant la science, la médecine vont vite. Nous avons ainsi bien avancé depuis le début du quinquennat, dont je rappelle qu'il n'est pas encore achevé. Il faut donc conserver cette méthode afin de poursuivre dans cette voie, ce à quoi nous sommes collectivement résolus.