Merci, monsieur le secrétaire d'État, de vos propos. Bien sûr, certaines choses sont mises en place, personne ne le conteste. La proposition de loi tend à promouvoir la coordination et l'écoute : prêter attention à toutes ces personnes qui souffrent est vraiment l'objet de notre action.
Je me félicite de la belle unanimité qui s'est dessinée, et qui confirme l'excellent travail que nous avons accompli en commission. C'est une très bonne chose et je crois que toutes les personnes qui nous regardent sont très heureuses de se rendre compte que les élus que nous sommes s'attachent à comprendre ce qu'elles vivent.
Madame Six, madame Métadier, merci de vos mots, et surtout merci à l'ensemble du groupe UDI et indépendants. C'est un sujet que nous avons pris à bras-le-corps il y a plus d'un an, et il était important de l'inscrire à l'ordre du jour. Sans l'action de mes collègues du groupe UDI-I, nous n'en serions pas là ; même si ce texte est une réussite commune de tous ceux qui ont mis la main à la pâte, ils en ont eu l'initiative. Qu'ils en soient remerciés.
M. Lachaud a dit que nous devons nous adapter. Ce sont des mots importants et justes. Cette proposition de loi n'est qu'une première pierre, et nous devrons continuer de nous adapter à ce virus et à ses conséquences, car il nous a déjà réservé et continuera de nous réserver bien des surprises.
M. Wulfranc a parlé d'une nécessaire prise en considération. Là encore, c'est vraiment l'objectif ; c'est ce qui est ressorti des différentes rencontres que nous avons eues il y a déjà plus d'un an, puis au moment des auditions. « Écoutez-nous », nous a-t-on demandé. Cette plateforme propose une reconnaissance, et ce sera très apprécié.
Madame de Vaucouleurs, merci de votre implication. En commission, nous avions prévu de retravailler certains aspects du texte : nous avons réussi à proposer, en bonne intelligence, des amendements qui enrichiront le texte en apportant des précisions utiles.
Madame Trastour-Isnart, merci également, merci aussi de votre engagement. Votre proposition de loi a posé le sujet la première, et il y a plus d'un an, ce n'était pas facile. Nous avons ainsi tous ensemble pris connaissance des choses. L'image des pierres est très importante : il y en a eu une première, une deuxième, une troisième… Nous arriverons ainsi à construire un mur contre ce virus.
Monsieur Borowczyk, merci. Vous avez participé aux auditions et ainsi à la construction de la proposition de loi. Il y a des choses que nous savions, d'autres que nous avons découvertes – je pense notamment au covid long pédiatrique, et à toutes ses conséquences sur les familles. S'il est délicat de s'arrêter pour se soigner, c'est encore plus difficile de le faire pour s'occuper d'un enfant. Je ne suis pas sûr d'avoir mérité la comparaison avec le maréchal Joffre, mais je l'accepte néanmoins !