Ils considèrent ainsi que les Guadeloupéens ne seraient pas capables – en tout cas le seraient moins que les Polynésiens – de gérer certaines compétences, autrement dit d'accéder à l'autonomie. Il ne faut pas confondre l'autonomie et l'indépendance, même si je sais, monsieur Aubert, que ce sont deux notions difficiles à comprendre.