Il est vrai que les outre-mer connaissent des difficultés particulières qui concernent la vie chère, les problèmes d'approvisionnement, l'avenir des enfants et leur vie professionnelle. Tout le monde le reconnaît.
Monsieur Roussel, nous vous tendons une main fraternelle, comme à tous les républicains, pour travailler ensemble. Cela vaut pour chacun des membres de cette assemblée. Mais nous posons une seule condition : que les policiers, les gendarmes, les soignants soient respectés en tant qu'agents de l'État ; que les journalistes soient également respectés. Ce préalable est indispensable à l'action de tout gouvernement et à la garantie de toutes les libertés.