Mes chers collègues, ces femmes et ces hommes exercent une profession éminemment difficile. La situation d'aujourd'hui marque la responsabilité – et d'une certaine manière l'échec – des majorités qui se sont succédé depuis des décennies. C'est pourquoi je propose qu'à cet instant la représentation nationale leur rende l'hommage qu'ils méritent.