Il vise à rappeler qu'il ne faut pas seulement prendre en compte les souffrances physiques, mais aussi les souffrances psychologiques consécutives à un avortement. Ce n'est pas le cas pour toutes les femmes, et tant mieux, mais il arrive à certaines d'entre elles de connaître, après un avortement, une souffrance psychologique pouvant durer longtemps qu'il est important de prendre en compte.