Je disais qu'Israël Nisand écrivait : « Il n'est pas politiquement correct de dire qu'il peut y avoir des troubles psychiques ou des regrets en aval d'une IVG. C'est un phénomène sur lequel on manque d'études scientifiques mais, sur le terrain, en consultation, on voit bien que cela existe. […] Le négationnisme des troubles qui peuvent survenir à la suite d'une IVG ne sert pas la cause des femmes. »
Vous voyez bien qu'il peut y avoir des opinions favorables ou défavorables. Demander un rapport sur le sujet permettrait d'éclairer un choix qui, même s'il ne faut pas le présenter comme un drame, demeure tout sauf anodin.