Je me réjouis toutefois – comme M. le rapporteur, semble-t-il – que nous soyons capables de travailler de manière constructive pour rétablir la situation.
Comme dans beaucoup de domaines, en bon centriste, je milite pour accorder autant de libertés que possible, tout en imposant autant de régulations que nécessaire, en rappelant que le dimanche doit demeurer prioritairement un jour de repos, notamment pour les salariés, afin qu'ils se retrouvent en famille, entre voisins ou entre amis et qu'ils participent à la vie associative, sportive et culturelle.
Cette question concerne dans une large mesure les magasins alimentaires. Comme certains députés élus de villes moyennes ou de territoires ruraux l'ont rappelé, il s'agit aussi de permettre aux commerces de proximité, dans nos bourgades, de se refaire une santé financière en régulant la fermeture – ou l'ouverture, c'est selon – des magasins de périphérie.
Tel est le sens de ces amendements, dont je me réjouis qu'ils aient été déposés par des députés de tous bords.