Dans ma permanence, j'en vois des gens qui viennent m'expliquer qu'ils ne veulent pas de l'agrandissement de l'élevage près de chez eux, parce que des camions et des tracteurs passeront sur leur chemin. Mme Genevard a dit tout à l'heure qu'on était propriétaire du paysage qui était devant chez soi. Si c'est comme ça, ce n'est pas compliqué !
Je vous donne un exemple : à Belle-Île-en-Mer, quelqu'un veut planter des vignes ; les riverains s'y opposent au motif que cela ne correspond pas au paysage qu'ils voient actuellement. Voilà un raisonnement que j'ai du mal à comprendre.