Je ne m'attarderai pas sur cette question, car nous en avons débattu en commission. Notre but n'est pas de revenir sur les sanctions possibles en cas de carence, ni sur la capacité des préfets à récupérer le droit de préemption urbain : nous voulons agir au cas par cas. C'est l'objet de cette modification de l'article 19 bis à laquelle nous avons procédé en commission. Je rappelle d'ailleurs que nous examinons un projet de loi relatif à la différenciation et à la décentralisation, aussi ce type d'outil mis à la disposition des préfets me semble aller dans le bon sens.
Avis défavorable sur ces amendements de suppression de l'article.