Il va, me semble-t-il, dans le sens des interventions de Stéphane Peu, dans la mesure où il vise à ce que le préfet précise, dans un arrêté, le bien visé et le motif pour lequel il renonce à son droit de préemption. C'est une manière de garantir plus de transparence et de faire connaître les raisons pour lesquelles le droit de préemption n'a pas été utilisé directement par le préfet.