Dans le cadre de la mission d'information sur l'avenir du secteur aéronautique en France, dont je suis la corapporteure avec mon collègue Jean-Luc Lagleize, nous avons entendu un certain nombre de compagnies aériennes, qui nous ont fait part de leurs difficultés. Cet amendement n'est que la traduction, par anticipation, des préconisations de notre rapport : il vise à abonder de 400 millions d'euros le programme Infrastructures et services de transports, en contrepartie de l'accélération du renouvellement de de la flotte en vue de l'acquisition d'avions plus performants, visant à décarboner la filière et l'industrie.