Je voudrais apporter quelques précisions sur le fond et sur la forme, concernant la résolution des Nations unies à laquelle vous faites référence. Ce qui compte, c'est que la liberté de religion et de conscience des habitants de Jérusalem soit garantie, ainsi que l'accès permanent, libre et sans entrave aux lieux saints pour les personnes de toutes religions et de toutes nationalités. Ce qui compte, c'est que le statu quo historique prévalant depuis 1967 sur la base d'un accord entre Israël et la Jordanie soit respecté. Ce qui compte, c'est qu'un règlement global, juste et durable de la question de Jérusalem tienne compte des aspirations légitimes des deux parties, israélienne et palestinienne.