L'exemple des délais d'instruction des dossiers par les caisses de retraite est un très bon exemple, et je pense comme Véronique Louwagie que le projet de loi n'accorde pas une place suffisante à la réduction des délais, alors qu'il y a là une vraie piste pour mettre fin à la défiance de nos concitoyens envers leur administration. Pour rester dans les références cinématographiques, je souhaiterais que l'administration traite les demandes des usagers en quatrième vitesse, comme le suggérait Robert Aldrich en 1955.