Ce n'est pas rien. De plus, le procédé est tout à fait naturel.
Je comprends que le CNOF ne s'attaque pas cette question, car ce procédé coûte moins cher. Aussi aurons-nous du mal à obtenir un consensus avec eux. Il n'est question que d'une expérimentation, pour voir si la population peut être sensibilisée à cette technique, s'il existe d'autres cas que ceux évoqués par la rapporteure. En outre, personne ne sera mis en difficulté. D'autres procédés seront envisagés, madame la ministre, tels que la dégradation de la partie organique du défunt par l'eau de mer : nous devrons aussi y réfléchir.
Je soutiens donc pleinement la rapporteure.