Je le dis parce que, lors de l'examen des onze textes précédents, près de 90 % du débat ont été consacrés à critiquer les externalités négatives de telle ou telle mesure, parfois en perdant de vue le principe même de ces mesures, qui sont des mesures de protection. Nous ne les prenons pas de gaieté de cœur. Nous ne sommes pas des partisans des restrictions des libertés.