Notre présidente vous a également rappelé la position de plusieurs instances : l'OMS s'est prononcée contre l'obligation vaccinale et s'inquiète d'une prolongation de la pandémie favorisée par des rappels effectués sans discernement ; le Conseil scientifique s'interroge sur l'efficacité du passe sanitaire ; la CNIL et la Défenseure des droits demandent des garanties en matière de libertés publiques. Devant tant d'alertes et de recommandations, pourquoi persistez-vous ? Quels sont vos véritables objectifs ?
Nous l'avons dit à maintes reprises, nous disons oui à la vaccination, mais pas forcée ; oui à la vaccination, mais pas comme seule solution.