Au mois de novembre dernier, le Parlement a confié au Gouvernement les pleins pouvoirs en matière sanitaire jusqu'au mois de juillet 2022, période qui nous a semblé alors tout à fait disproportionnée. Le Gouvernement fondait son argumentation sur sa volonté de ne pas nous déranger après la fin de nos travaux en février, alors que nous restons députés jusqu'en juin 2022. Or ce même Gouvernement n'a pas hésité à nous faire revenir entre le 29 et le 30 décembre pour voter en commission une nouvelle loi…