Monsieur le ministre, vous êtes le premier à nous expliquer que les personnes vaccinées qui se retrouvent hospitalisées, que ce soit les enfants ou les adultes, sont celles qui souffrent de comorbidités. Or l'une des premières comorbidités, c'est l'obésité. Quel est le meilleur moyen de prévention pour protéger nos concitoyens de l'obésité ? C'est la pratique sportive. Empêcher nos concitoyens – d'autant plus ceux qui ne sont pas vaccinés –, de faire du sport et donc de se protéger d'une obésité qui les conduirait en réanimation est vraiment dangereux, sachant qu'on peut parfaitement demander aux non-vaccinés de présenter un test négatif pour protéger les autres. C'est vraiment de la prévention : permettre de faire du sport, c'est aussi protéger nos concitoyens des comorbidités, dont on entend tellement parler.